En vérité, vous nous emmenez dans un piège terrible, terrible car la France ne peut plus repartir, à moins de prendre le risque insoutenable de déclencher un génocide dans ce pays. Les plus fanatiques attendent le signal du déchaînement de la haine, et ce signal sera le départ de nos soldats.
À ce stade, et au regard d’une forme d’incurie dans la gestion diplomatique de ce dossier,