Nous irons, monsieur Fromion. Et je sais que vous vous y êtes rendu dernièrement.
Certes, d’autres difficultés sont apparues. Mais la guerre, c’est cela : on a beau essayer de tout planifier, rien ne se passe comme prévu. Notre devoir aujourd’hui est de continuer à faire baisser la violence sur place et à soutenir le processus de transition politique entamé autour de la Présidente. Pour ce faire, notre dispositif a d’ores et déjà été renforcé.
Bien sûr, j’ai une pensée pour les soldats disparus, qu’ils soient français ou africains. J’aimerais pouvoir assurer les soldats qui sont sur place de la clarté du cadre d’ordres de l’Assemblée nationale. Aussi, je vous invite, chers collègues, à voter la continuité de cette opération.