Intervention de Philip Cordery

Réunion du 26 février 2014 à 16h45
Commission des affaires européennes

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaPhilip Cordery :

Ce programme phare montre que l'Union européenne agit, notamment au profit des jeunes en quête de mobilité européenne pour mieux affronter leur entrée sur le marché du travail.

Je tiens à remercier la rapporteure pour sa coopération au rapport d'information relatif à l'emploi des jeunes, dont j'ai la charge, car ces sujets sont en interaction forte. C'est aussi le cas, au demeurant, avec la proposition de loi relative au stage que j'ai déposée.

Toutes les personnalités que j'ai rencontrées dans le cadre de la préparation de mon rapport d'information témoignent de l'importance des périodes d'apprentissage expérimentées à l'étranger et de la pénurie de jeunes compétents en langue. Des secteurs économiques entiers sont contraints d'embaucher des étrangers faute de jeunes Français qualifiés en langues étrangères. La mobilité des apprentis est donc primordiale. Vous avez indiqué que le nouveau programme Erasmus + s'ouvrait à ce nouveau public des apprentis. Comment la France compte-t-elle mobiliser nos jeunes apprentis ? Savez-vous quelle part du budget y sera consacrée ?

Comment les jeunes étrangers qui veulent effectuer un stage post-cursus en France pourront-ils financer leur mobilité, alors que la loi française établit des conventions tripartites entre l'université, l'entreprise et l'étudiant dans le cadre de stage, au sein du cursus universitaire ?

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