Tous les démonstrateurs sont à l'arrêt ou ont été fermés. Le seul qui subsiste est le projet E.ON de GDF, à Rotterdam, mais il a été mis en difficulté par l'effondrement du prix du carbone.
Quel niveau d'indépendance faut-il conserver ? Il est généralement admis qu'un pays doit être indépendant : nous pensons, quant à nous, qu'il faut surtout avoir un approvisionnement très diversifié. C'est pourquoi notre approvisionnement n'est pas entre les seules mains de Gazprom. Nous allons renégocier tous nos contrats pour les rendre plus compétitifs et plus proches des prix du marché.