Nous n'en croisions plus jusqu'à ce que les choses changent, il y a cinq ou six ans. Nous commençons d'ailleurs aussi à rencontrer des personnes attirées par notre industrie, parce qu'ils savent qu'elle est susceptible d'embaucher dans la décennie à venir. Il conviendrait cependant de valoriser davantage ces métiers, car c'est toujours de façon péjorative que l'on parle des sous-traitants du secteur comme de « nomades du nucléaire », alors que l'on trouve dans toutes nos entreprises des compagnons dévoués et compétents.