L'attractivité de la filière dépend de l'avenir qu'on lui réserve. Actuellement, EDF peut embaucher du personnel de bon niveau, mais il faut du temps – en salle et sur le terrain – pour le former à la réalisation d'opérations complexes. Je ne préjuge pas de la politique énergétique, qui n'est pas de mon ressort, mais il va de soi que le secteur cesserait d'attirer si l'on annonçait la fermeture des centrales à brève échéance.