Le CCE a également dressé un bilan financier des opérations de l'entreprise à l'étranger au cours des vingt dernières années : la situation critique qui en a résulté dans les années 2000 pourrait expliquer l'ampleur des sous-investissements. Ce tableau ne prend pas en compte l'opération sur British Energy, qui n'entre pas dans la catégorie de ces investissements hasardeux.