Les prix sur les marchés sont fixés par le mécanisme de l'offre et la demande. Si la croissance revient, les conditions changeront.
Il me semble que tout le monde est d'accord pour dire qu'il existe une perte de compétences au sein de la filière nucléaire. La construction d'une troisième génération de réacteurs, quels qu'en soient les défauts ou les atouts, serait-elle susceptible d'y remédier – sachant que nous aurons encore besoin de telles compétences, vu que le parc nucléaire français ne pourra pas être fermé du jour au lendemain ? Comment faudrait-il s'y prendre si cette troisième génération ne voyait pas le jour ?