Ce sera fait, bien sûr.
La troisième bosse de la courbe – présentée, je le rappelle, dans un document à usage interne exposant les perspectives financières de l'entreprise – donne, je le répète, un ordre de grandeur, une image. Il s'agissait de relativiser le coût du grand carénage, qui paraît considérable, et de montrer l'intérêt que présente la prolongation de la durée de vie des centrales. Nous nous sommes fondés sur l'hypothèse d'une reconstruction de 63 gigawatts, soit une quarantaine d'EPR, à un coût équivalent au coût cible que j'ai indiqué.