La société civile s'est emparée de la commémoration ; l'État n'en a pas le monopole. Les initiatives foisonnent sur tout le territoire en dehors des circuits formels, et la préfecture n'en est pas toujours informée. Le millier de projets que nous avons validés et les projets en attente – trois journées de commission de validation seront encore nécessaires – ne sont que la partie émergée de l'iceberg.