Je m'interroge sur le choix de commémorer le centenaire de la guerre au début de la période, soit dès l'année 2014, et non à la fin. Il se trouve que, cette année, nous célébrons également le soixante-dixième anniversaire du débarquement et le centenaire de l'aviation militaire. Cette concomitance ne risque-t-elle pas d'être, pour les citoyens, une source de confusion qui desservirait le devoir de mémoire ? N'aurait-il pas été préférable de distinguer les différents événements ?
S'agissant de l'association des parlementaires, dans le département du Rhône, qui a été une zone arrière très impliquée dans la fabrication des munitions, je désespère toujours que le préfet nous sollicite. Les parlementaires ne demandent qu'à relayer la commémoration dans les départements.
Dans la mémoire collective, il ne faut pas oublier les DOM-TOM et ceux qui venaient de Cochinchine. Il faut se souvenir que pas une famille n'a été épargnée.