L'analyse des causes semble manquer dans le texte qui nous est présenté. Il faut se demander pourquoi ces gens souhaitent s'exiler. Et les retraités ne sont pas les seuls concernés. Il n'y a jamais eu aucune étude sur le sujet portant sur un échantillon important d'exilés – 1 000 ou 10 000 personnes – pour analyser correctement leurs motivations. Il sera difficile de trouver des remèdes sans connaître les véritables causes.