Les Français n’accepteraient pas, d’ailleurs, que vous mainteniez un dispositif qui a justement valu à M. Peillon d’être limogé.
Nous avons bien entendu que vous vous apprêtiez à tailler dans la politique familiale, la politique de santé et les dépenses des communes, maintenant qu’elles sont passées majoritairement à droite. Mais, monsieur le Premier ministre, entraver les communes – qui, je vous rappelle, représentent 70 % de l’investissement public – serait un très mauvais signal pour la croissance.