y compris les 60 000 postes dans l’éducation nationale, car les fonctionnaires de tous les autres ministères n’ont pas vocation à être la variable d’ajustement de cette politique qui est, il faut bien le dire, une politique clientéliste.
C’est bel et bien toute votre politique budgétaire qu’il faut reprendre. En effet, vos choix budgétaires successifs ont fait prioritairement porter les efforts sur les impôts : en 2013, les impôts nouveaux représentaient 1,7 % du PIB, alors que le déficit n’a été réduit que de 0,6 point de PIB. En choisissant l’impôt plutôt que la baisse des dépenses, vous avez asphyxié la croissance.