Les étrangers représentent environ 17 % de notre chiffre d'affaires. Ils se concentrent sur les établissements de haute montagne et la Méditerranée. Nous nous efforçons d'avoir une signalétique en français et en anglais et avons, dans ces centres, du personnel parlant les langues étrangères.
Nous avons en effet des partenariats avec Atout France.
Notre hôtellerie a une forme particulière, très saisonnière. Si certains de nos établissements sont ouverts toute l'année, la plupart ferment quatre à six mois par an. Nous faisons donc un métier très difficile, à faible marge, et raisonnons plus en termes de cash-flow disponible qu'en termes de marge d'exploitation. Notre activité est par conséquent très fragile.