J'ai sur ce point un avis divergent. Les investissements d'avenir n'ont pas vocation à couvrir la totalité du champ ; c'est à l'État d'indiquer les champs sur lesquels il souhaite que porte l'action. Dans le domaine technologique, par exemple, j'ai proposé trois priorités – les technologies génériques, l'économie du vivant et la transition énergétique ; ces priorités ont été retenues, mais il s'agit d'un choix politique : le CGI ne soutient pas tout… même si les ministres s'en plaignent.