L'ANR, en sa qualité d'opérateur, n'a pratiquement pas de marge de manoeuvre, car c'est le ministère et nous-mêmes qui définissons la politique. Elle n'est qu'un exécutant. Elle a au contraire beaucoup plus de marge de manoeuvre sur ses propres actions. C'est au ministère de l'enseignement supérieur, qui pilote l'ANR, d'assurer une cohérence entre l'ensemble des actions.