Je voudrais évoquer les sociétés d'accélération du transfert de technologies (SATT) et leur inscription dans la continuité des investissements d'avenir. Si la France doit rester parmi les leaders mondiaux en matière de recherche, elle ne doit pas oublier pour autant le volet innovation. Mesurer le nombre de brevets déposés est nécessaire, mais insuffisant : il faut aussi savoir ce qu'il adviendra du brevet une fois qu'il aura été déposé et en quoi ce dispositif financé par les deniers publics contribue au fonctionnement de l'économie.
En tant qu'élu du Bas-Rhin, la SATT que je connais le mieux est Conectus.