Nous résistons à cette tendance. Le comité d'arbitrage a été plus difficile à mettre en place à Toulouse qu'ailleurs, car une université y était très opposée. Il a donc fallu de la persuasion, fondée notamment sur l'argument que, si les choses continuaient ainsi, il n'y aurait pas d'IDEX. Cela signifie en tout cas que cette opération doit être suivie de très près, car nous pourrions revenir en arrière et noyer les spécificités de l'IDEX dans la communauté d'universités, où il n'y aurait plus qu'à procéder à une équirépartition de l'enveloppe entre les différentes universités.