S'agissant du concept de territoire, qui nous préoccupe, deux écoles s'affrontent. Les uns préconisent un site unique et vierge de toute construction afin de laisser chaque pays participant s'exprimer – ce qu'ont fait les Chinois en 2010 et ce que prévoient les Italiens pour l'exposition de 2015 ; les autres préfèrent utiliser l'existant et insérer l'exposition dans la ville en utilisant le numérique pour revisiter les monuments. Il existe une solution intermédiaire, prônée par le secrétaire général du BIE, qui consiste à placer le coeur du projet au centre de Paris tout en développant des satellites sur le territoire du Grand Paris et dans les métropoles régionales. Qu'en pensez-vous ?