La situation actuelle est le fruit de dérives anciennes, de quelques décennies de renoncement. Nous sentons effectivement une inquiétude grandissante et les contraintes d'aujourd'hui sont certainement la « goutte d'eau qui fait déborder le vase ».
J'ai l'impression que l'armée de terre subit une double peine. Déjà affectée, on lui demande plus d'efforts que les autres administrations civiles : 58 % des baisses d'effectifs de la fonction publique décidées en 2013 s'effectueront dans la défense, essentiellement dans les rangs de l'armée de terre. C'est bien cette injustice qui pose problème.
Se dirige-t-on vers une restructuration des délégations militaires départementales ? Vont-elles être supprimées au profit de structures départementales ?