Vous avez remarquablement exposé les enjeux et tenté d'évoquer des pistes d'économies qui, je le crains, sont assez marginales et ne peuvent permettre de compenser l'effet d'éviction. Ces différentes pistes ont-elles été chiffrées dans le passé et est-il possible de donner des ordres de grandeur qui, je le pense, montreront que ces économies ne sont pas à la hauteur des contraintes budgétaires et du déclassement capacitaire de nos forces conventionnelles ?