M. Delom a rappelé que nous avions la chance de disposer de cent cinquante marques de renommée internationale, sous l'ombrelle de la marque « France ». Je m'interroge sur la multiplication des communications autour de ces cent cinquante marques. Ne perd-on pas de l'énergie, y compris financière ? Quel serait pour vous le bon chef de file afin de coordonner et de rationaliser la communication touristique de notre pays ? À l'inverse, éprouvez-vous des difficultés au quotidien face à un si grand nombre d'interlocuteurs ?