Une liste des perturbateurs endocriniens a été rendue publique au moment de la préparation du règlement concernant l'enregistrement, l'évaluation et l'autorisation des substances chimiques, dit « REACH ». Je m'étais du reste portée volontaire, avec d'autres députés au Parlement européen, pour subir des analyses sanguines en vue de détecter la présence de perturbateurs endocriniens dans mon organisme : il n'y avait pratiquement que des polychlorobiphényles (PCB), ce qui est logique, car je vis dans une région agricole.