Nous n'avons pas, aujourd'hui, moins de pilotes que d'avions en situation de disponibilité opérationnelle. Jusqu'à présent, nous avons été confrontés à des missions longues et de faible intensité ou à des missions courtes mais de forte intensité, comme l'opération Harmattan par exemple, sans que nous ayons à déplorer de points bloquants pour notre capacité d'engagement.
Si nous étions confrontés à une opération de forte intensité sur un temps long, nous devrions certainement gérer différemment les ressources humaines dans leur ensemble pour être capables de soutenir l'effort dans la durée.