Nous faisons aujourd'hui le bilan de la LPM actuelle. Celle-ci prévoyait pour les trois dernières années de la programmation une hausse des crédits de 1 % qui n'a pas été réalisée. Les crédits de paiement ne correspondent pas aux autorisations d'engagement. Je pense comme membre de la commission du Livre blanc, qu'il faut une LPM plus conforme à ce qu'il est possible de réaliser, par application d'un juste principe de réalité.