Monsieur le président, monsieur le ministre, monsieur le rapporteur général, chers collègues, je souhaite en revenir à l'essentiel : le texte que nous examinons ce soir répare une faute et une injustice.
La faute a été commise contre les chômeurs. La faute, c'est d'avoir décidé de subventionner les heures supplémentaires.