S'agissant de la première partie de votre intervention, je précise que nous sommes douze étudiants à avoir travaillé sur ce projet, dont : deux designer, deux ingénieurs, deux architectes, deux étudiants en tourisme, un économiste, Aurélie en histoire de l'art, Chloée en droit et moi-même en philosophie.
S'agissant de la deuxième partie, j'observe que c'est plutôt la logique des pavillons nationaux qui est surprenante. Dans une telle logique, comment des petits pays peuvent-ils trouver leur place ? Ils en ont davantage dans la forme collaborative que nous proposons, en travaillant avec des pays plus grands pour trouver des solutions aux problèmes qu'ils rencontrent.