Oui. Par ailleurs, le taux d'occupation des hôtels est très élevé à Paris : entre 80 et 90 %. D'où l'intérêt d'une taxation au forfait. Dans la plupart des autres communes, il vaut mieux taxer au réel, car les hôteliers seraient réticents à payer un forfait qu'ils n'ont pas encaissé.