Vous avez, les uns et les autres, souligné la singularité des classes préparatoires, peut-être même leur culture de la singularité – assiduité, ponctualité, communauté d'élèves et d'enseignants – face à des universités où les étudiants seraient livrés à eux-mêmes. Se justifie-t-elle encore dans les classes littéraires dont très peu d'élèves intègrent une grande école ? Ces classes sont-elles trop nombreuses ? Ou, sinon, ne faut-il pas redéfinir leurs objectifs ?