Il m'a été reproché tout à l'heure une maladresse dans mes propos : la question de la guerre d'Algérie est tellement sensible ! Monsieur le député, sur cette question, il serait malvenu que le Gouvernement s'exprime. Mon souhait, depuis le début, est d'éviter toute ingérence et toute interférence dans le débat parlementaire : il y a une loi qui a été votée ici en 2002 et une proposition de loi en cours d'examen au Sénat. Je m'en remets donc à la sagesse des parlementaires et au débat qu'ils auront au Sénat.