Vous avez fait référence à Pirates des Caraïbes et à Jacques-Yves Cousteau, mais je reviendrai sur deux arguments que j’ai déjà exposés. Premièrement, rien n’interdit à une société de proposer ce type de services si elle est en mesure de le faire. Deuxièmement, votre amendement renvoie à un décret en Conseil d’État. Or, comme je l’ai déjà dit à plusieurs reprises, et vous m’excuserez d’être un peu répétitif sur ce sujet, nous voulons que ce texte soit à la fois réactif et transparent, pour éviter de perdre du temps.
Il importe enfin, lorsqu’il est question de la mer, de se méfier des analogies avec ce que l’on peut trouver à terre. Vous avez fait référence aux films tournés à 4 000 mètres de profondeur. Moi aussi, j’ai collectionné les fiches Cousteau dans ma jeunesse, j’ai regardé les émissions qui passaient sur France 2…