Madame la députée, en ce qui concerne la politique de mémoire, au-delà du rappel que le budget est passé de 12 à 17 millions d'euros, ce qui n'est pas rien, me semble-t-il, ce n'est pas nous qui avons créé le GIP pour les commémorations du début de la première guerre mondiale. Ce n'est pas nous qui avons décidé que ce GIP ne serait mis en place que jusqu'à la fin de l'année 2014 et donc n'aurait pour vocation que de célébrer l'entrée en guerre de 1914. Et tout mon travail aujourd'hui consiste à revenir, en accord, d'ailleurs, avec des critiques provenant de vos bancs, sur l'action du GIP, sur sa philosophie – sans pour autant remettre en cause les hommes qui le dirigent. Notre volonté est justement, surtout, de ne pas commémorer l'entrée en guerre, madame la députée.