Même avis : de toute façon, la directive « retour » nous oblige à mettre en place ce contrôle. La seule question qui se pose est de savoir s’il convient de le confier au contrôleur général des lieux de privation de liberté ou à une autre autorité. L’article 1er A vise à mettre la législation française en conformité avec le droit européen ; le Gouvernement est donc défavorable à sa suppression.