Je rajouterai qu'il faudrait que les modalités de recouvrement soient alignées sur celles des impôts locaux. Cela permettrait de réduire le taux de fraude qui est anormalement élevé. Je crains toutefois que la DGFIP ne le souhaite pas. Le produit de la taxe de séjour étant d'environ 200 millions, la DGFIP percevrait pour assurer cette mission de l'ordre de 2 ou 3 %, soit 6 ou 7 millions d'euros. J'ajoute que la collecte des informations pour établir l'assiette pose problème. Le système actuel n'est pas satisfaisant.