Il serait assez délicat d'étendre la taxe au-delà de l'hébergement. Prenez, par exemple, les parcs de loisir. Ils ne paient pas de taxe de séjour, mais ils paient davantage de cotisation sur la valeur ajoutée des entreprises (CVAE). Cela nous ferait passer d'une fiscalité fondée sur l'hébergement à une fiscalité touristique affectée, ce qui est tout autre chose.