Pour ma part, je n'ai aucun état d'âme s'agissant de cette féminisation. Nous y travaillons depuis deux ans, notamment en liaison avec le service de santé des armées et au travers d'échanges avec nos partenaires américains et britanniques, qui suivent la même voie. Une action spécifique d'information sur le risque précité devra être organisée pour les femmes embarquant sur les bâtiments. Je relève qu'aux Etats-Unis 40 % des élèves-ingénieurs sont des femmes, contre environ 20 % en France, et qu'il n'y a aucune raison de se priver de cette ressource.