Je partage l'analyse de M. Houillon. Le juge aux affaires familiales décide. Il n'est pas besoin d'écrire dans la loi ce qu'il a à faire et à ne pas faire. Cela vaut pour la répartition des frais et le montant de la contribution : il n'est nul besoin d'en faire état dans cet article. Il convient donc d'en rester à la rédaction actuelle en laissant au parent le plus diligent la possibilité de saisir en référé le juge aux affaires familiales, lequel statuera librement sur toutes les questions posées. Laissons les magistrats tranquilles ! N'inscrivons pas dans la loi ce qui est l'évidence mais aussi la pratique.