Si l'exercice du droit de visite et d'hébergement est un droit, le fait que l'un des parents l'exerce de manière « perlée » – c'est-à-dire, en pratique, quand ça lui convient – est très préjudiciable pour l'enfant, qui peut attendre ce parent en vain pendant tout un après-midi, et très déstabilisant pour le parent chez qui l'enfant réside. Cet amendement d'appel – ainsi que l'amendement CL22, qui a le même objet – invite à trouver des moyens de rééquilibrer de telles situations.