Cet « amendement fenêtre » – ainsi désigné car il prend en compte la situation des enfants qui attendent indéfiniment à la fenêtre un parent qui ne vient jamais – tend à exonérer d'une condamnation le parent qui, pour avoir voulu éviter à l'enfant cette attente vaine, ne se trouverait pas en mesure de le représenter à l'autre parent le jour où, par extraordinaire et contrairement à son habitude, celui-ci serait venu le chercher. L'amendement tend aussi à appliquer cette exonération en cas de violences de la part de l'autre parent.