J'ai beaucoup aimé, monsieur Mockly, vous entendre nous dire que nous n'échapperons pas à la question de l'avenir des déchets ! J'ai bien évidemment envie de vous la retourner : après quelque quarante années de production nucléaire, on aurait attendu de ceux qui produisent les déchets qu'ils apportent la réponse. À défaut, les responsables politiques devront bien trouver une solution, mais vos propos expriment un étrange retournement de situation ! Ils m'ont renvoyé à ceux de M. Repussard évoquant, lors de son audition tout à l'heure, les problèmes moraux que poserait le report sur les deux ou trois générations à venir des provisions nécessaires au traitement des déchets.