Les études de détail ne sont pas achevées. Il est donc difficile de vous répondre.
En fonction de l'état d'avancement de ces études, nous nous sommes toutefois forgés la conviction que, si, tous, nous prenons en compte l'ensemble des retours d'expérience dont nous disposons, il n'y a aucune raison de ne pas réussir à rester dans l'enveloppe de 15 milliards d'euros qui avait été évaluée, à l'origine, de manière prudente. La comparaison de cette enveloppe avec des évaluations étrangères conduit à la même conclusion.