Nous estimons qu'une phase de tests de l'ordre de quinze ans devrait suffire pour disposer d'assurances raisonnables quant à notre capacité à récupérer les déchets pendant les cinquante à soixante-dix années suivantes.
D'autre part, l'IRSN et l'ANDRA sont en train d'étudier les risques en exploitation dans la perspective de la démonstration de sûreté. Le risque d'incendie est celui sur lequel nous nous interrogeons le plus. De notre point de vue, pendant la phase pilote, il ne sera pas souhaitable de stocker des emballages contenant des éléments combustibles, en particulier du bitume.