Non. Quant aux extinctions d'établissements, j'en ai donné un exemple tout à l'heure et vous pourrez consulter notre rapport. Nous essayons de faire sortir de notre portefeuille les structures devenues sans objet mais, en droit, il est très long de liquider des sociétés car elles traînent généralement un passif. Et il faut tout régler pour pouvoir les fermer.
Si l'Agence des participations de l'État n'a pas eu l'air d'intervenir dans l'affaire Rio Tinto, nous y avons en réalité beaucoup travaillé en tant qu'experts, afin d'aider la société à trouver une solution pour pérenniser son activité. Lorsque nous trouvons des investisseurs tiers, qu'ils soient français ou étrangers, prêts à venir combler le besoin de capital d'une société, nous n'avons aucune raison d'y venir.