Le financement de la phase 1 n'a pu être assuré que pour neuf ans et demi, en partie à cause de l'exigence de la Commission européenne de laisser aux clients d'Exeltium la possibilité d'exercer un droit de sortie au bout de dix, quinze et vingt ans. Le montage financier du projet s'en est trouvé fragilisé : dans le contexte difficile de l'époque, les banques n'ont accepté de le financer que jusqu'à la première de ces échéances. Pour éviter tout problème avant le terme de leur financement en 2019, elles ont posé un certain nombre de conditions qui nous obligent à refinancer 1,75 milliard d'euros d'ici à la fin de l'année 2014.
Quant à la phase 2, elle n'a fait l'objet d'aucun accord à ce stade.