Une première analyse a été faite par notre direction juridique pour la partie française, au vu des éléments en notre possession. En revanche, faute de pièces, ce travail n'a pu être effectué pour la partie étrangère.
Enfin, nous nous sommes tenus informés des réflexions de la commission locale d'information mais je n'ai pas encore pris l'initiative de la rencontrer. J'ai déjà vu le directeur de la centrale et le préfet, qui en fait partie, ainsi que les acteurs plus traditionnels de la revitalisation. Cela dit, je n'ai aucune objection à rencontrer cette commission si elle le souhaite.