La FNSF est tout à fait d'accord pour donner la parole à l'enfant et pour contrer la jurisprudence de la Cour de cassation sur le syndrome d'aliénation parentale. Mais nous sommes favorables à ce qu'un avocat soit désigné pour porter la parole de l'enfant, afin d'éviter de confronter celui-ci à un conflit de loyauté.