Les réponses – certes très partielles – d'EDF sur le grand carénage montrent une courbe qui est loin de s'arrêter en 2025.
Comment rédigeriez-vous aujourd'hui votre rapport au vu de ces scénarios énergétiques et n'y a-t-il pas une certaine pertinence à viser une proportion qui serait de l'ordre de 50 % de nucléaire en 2025, afin de mieux répartir les risques ?