Le cas d'AZF illustre la lenteur des procédures. Il existe plusieurs unités à risques en Europe, y compris dans des pays peu nucléarisés, où l'indemnisation, objet d'intenses querelles entre assureurs, dépend de décisions de justice qui se font attendre pendant des années : il n'y a pas de cadre comparable à celui qui existe pour les catastrophes naturelles.