Le problème, c'est que nous ne sommes pas d'accord avec le postulat de l'ANODE. Nous pensons, quant à nous, que le prix de l'ARENH doit être calé sur le coût économique complet, qui, comme je l'ai expliqué, reste constant en monnaie constante sur toute la durée de vie du parc. Ce serait une solution simple, qui éviterait que l'on s'interroge sans cesse sur ce qui adviendra à l'issue de la période visée par la loi NOME – sachant que, contrairement à ce que sous-entend la note de l'ANODE, il n'est pas garanti que celle-ci soit prolongée.
Quoi qu'il en soit, j'observe que les représentants de la Direction générale de l'énergie et du climat (DGEC) ont évoqué devant votre commission d'enquête une trajectoire croissante pour le prix de l'ARENH, et que le président de la Commission de régulation de l'énergie (CRE) a dit que celui-ci devait augmenter.